Mais, finalement, comme les arbres
plantés lors de la grande campagne de rénovation de la fin du XIXème étaient en fin de vie (notamment deux grands
séquoias) et que la plupart des autres avaient poussé là sans plan concerté, le parti fut pris de recréer, face aux deux ailes
nord du château, une vue perspective. Pour se faire il a fallu, à contre coeur, supprimer des arbres situés en bordure
et en fond de parc (cf ci-contre à droite et ci-dessous à gauche). |
Abattage d'un sequoia |
Dégagement de la perspective |
C'est dans ces conditions qu'une large bande de 80 mètres de large a été ouverte. En laissant 15 mètres
de chaque coté des ailes.
Pour en définir les limites latérales, des tilleuls ont été plantés en alignement. Depuis le château jusqu'à la Toulène (cf ci-contre à droite). |
Alignement de tilleuls |
Enfin, la déclivité du terrain en descendant
vers la Toulène et un décrochement marqué à une vingtaine de mètres de l'extrémité
des ailes laissaient à penser que l'ancien jardin à la française se trouvait légèrement en contrebas. C'est pourquoi nous
avons procédé à un décaissement, par couches successives, sur une profondeur de 1 mètre environ.
La plateforme ainsi créée accueillera les parterres à la française.
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Décaissement ... |
... en cours |
Engin de l'entreprise BILLET à l'oeuvre |
Les travaux de terrassements se sont terminés fin 2010.
Ils ont permis de réaliser définitivement la plateforme qui recevra les parterres à la française. On voit bien
(à droite), depuis le canal, la perspective : la terre dégagée de la partie centrale
a été réultilisée sur les talus latéraux.
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Perspective depuis le canal |