nettoyage et débroussaillage





En 1992, en vue de sa revente après une très longue période de total abandon (voir l'incendie et ses suites), le propiétaire d'alors décide de faire couper le bois taillis qui a pris possession de la grande cour d'honneur. Les arbres sont alors abattus, sans soins, les troncs et bois "commercialisables" récupérés, les autres laissés sur place. La végétation du sol retrouvant la lumière, d'innombrables repousses repartent au milieu des ronces et plantes de toutes sortes.

En cet état, en septembre 1995, lorsqu'a commencé la reprise, les premiers efforts ont porté sur le débrousaillage.




[Engin de défrichage en Action]


Puis il a fallu brûler tous ces bois, dessoucher, arracher les racines qui s'étaient incrustées partout en terre, débarrasser les lieux de ces centaines de mètres cubes embarrassant. Après quoi, la terre égalisée et travaillée, un gazon a été semé (cf infra, même page). Puis il a fallu aussi évacuer les décombres de l'intérieur du château avec l'imposante végétation qui s'y était installée




[Dessouchage]

[Evacuation des gravats]



On mesure à la comparaison de ces clichés pris à l'époque de l'agonie (colonne de gauche : 1995) et après reprise des lieux (colonne de droite : 1999-2001), la somme de travail accumulée.



[Le bois taillis...
... redevenu Cour d'Honneur]
[La Cour arrière ...
... sans son lierre]
[Voûtes éboulées des cuisiines ...
... après couverture]
[Le château,la forêt ...
... et la façade retrouvée]


A cette occasion, on découvrit que la cour d'honneur était entourée d'un pavage régulier, malheureusement malmené par le travail racinaire de toute la végétation. Il put néanmoins être dégagé à plusieurs endroits.




[Mise à jour des pavages.]


Ensuite toute la végétation hostile a été éradiquée. Il a été substitué au fouillis des ronces, arbustes et lierres envahissants un gazon qui favorise la mise en valeur des bâtiments et l'entretien des abords.




[Mise en valeur des bâtiments par un gazon]



La phase de sauvetage de Villemont étant maintenant bien avancée,à tout le moins pour les communs, la question était posée de savoir par quelle partie débuter la restauration proprement dite.

  Le choix fut rapidement fait de privilegier les batiments qui ont le mieux résisté aux outrages du temps et aux agressions de la nature> : il s'agit évidement des communs, seules parties encore couvertes malgré ces décéniesd'incurie.

C'est ainsi que les premiers travaux, réalisés en 2001, ont porté sur la charpente et la couverure du pavillon d'entrée, puis sur la reconstruction d'un mur d'hémicycle et la restauration du surplus de cet ensemble qui marque, avec beaucoup d'élégance, l'entrée de Villemont.


Pour porter ce projet très lourd, une fondation d'entreprise est en cours de constitution.