ommençés à partir de 2002, les travaux de
remise en état du parc se sont poursuivis tout au long des années 2006/2009.
Il a donc fallu, inlassablement, continuer à abattre les arbres qui avaient prospéré
de façon anarchique pendant les 45 ans d'abandon (des érables, maronniers ou autres tilleuls ... tous de piètres qualités). Arrivés là par
hasard.
Ici, ils formaient un bois taillis, sauvage, ailleurs ils poussaient ça et là, au gré des vélléïtés de la nature.
Après abattage, il faut les débiter. Les évacuer. Puis déssoucher, bruler ...